Le Nouveau Décaméron est une revue littéraire mensannuelle. Hybride et libre d’aller où le vent la portera…
Fille du Décaméron 20/2.0 et arrière-arrière-arrière-petite-fille du Décaméron florentin, elle a été conçue un matin de printemps silencieux, tandis que les arbres fleurissaient et que les champs s’échevelaient sans l’ombre d’un être humain pour les domestiquer. Elle est née, dans ce moment inédit, d’amours multiples… Celui de la littérature, bien sûr – des mots, des idées –, mais aussi de l’amour du beau et de l’essentiel. Dans le désir du partage. Mais encore devant l’absolue nécessité, l’urgence, de lire le monde. Un monde qui est nôtre et qui pourtant nous échappe plus que jamais.
Ouverte à tous et libre de ses mouvements, elle propose de se retrouver régulièrement pour un copieux pique-nique sur l’herbe : poésies, nouvelles, récits, réflexions, analyses… seront au menu. Chacun apportant un petit quelque chose à grignoter…
Elle paraîtra tous les mois sur le blog d’Albiana et trouvera ensuite sa place dans les librairies sous la forme d’un recueil annuel. Lire en ligne pour maintenir le lien et lire en page pour combattre l’éphémère et l’oubli…
Retrouvez ici :
L'édito (mis à jour chaque mois)
Le premier appel à projet de juin 2020 - "Permission de sortie" et "La cuisine en partage"
L'appel à projet de juillet 2020 - "L'oubli"
L'appel à projet d'août 2020 - "Regain, résilience, renouveau..."
L'appel à projet de septembre 2020 - "Jusqu'ici tout va bien !"
L'appel à projet de novembre 2020 - "Portrait"
Écrire pour lui... Soutenir Jean-Pierre Santini !
L'appel à projet de décembre 2020 - "Vis comica / Et nous avons bien ri "
Jean-Louis Pieraggi - Le chant de la ruche
Stella, l’héroïne des Enfants de Pandora poursuit son initiation aux mystères de la Nature. Une nouvelle de Jean-Louis Pieraggi au goût de miel, "de pollen et de sucre", qui allie délicieusement science et tradition, conscience écologique et élans juvéniles.
Yves Goulm - Des mille et une façons de vivre et de mourir
Nouvelles tragiques lovées telles des vipères au sein d’une nouvelle écrite dans un style percutant, empreint d’humour noir comme la mort. Il y eut des jours où l’écrivain (imaginé) aurait bien fait de ne point écrire… (Yves Goulm au clavier).