Après un petit temps de repos (bien mérité !), Le Nouveau Décaméron reprend sa route. La revue continuera d’être mise en ligne tous les mois (première semaine du mois)* et fera l’objet d’une sortie « papier » en fin d’année 2021 avec les 100 meilleurs textes (selon un principe hérité de Boccace en définitive !), choisis par un comité éditorial constitué pour l’occasion. Tous les textes mis en ligne depuis juin 2020 seront pris en compte.
Tous les sujets, tous les styles, toutes les langues, tout ce qui peut être partagé par les mots est accueilli avec émotion et étudié avec bienveillance pour la mise en ligne.
Chaque mois, nous proposons aussi un thème, histoire de nous amuser un peu aussi… Tous les thèmes passés sont toujours actifs. Et il ne faut pas hésiter à proposer des textes sur d’anciens thèmes s’ils sont inspirants.
Ainsi Le Nouveau Décaméron 2021 sera ce qu’en feront les imaginaires, les élans littéraires du moment, les « déclics » personnels. Elle sera dans la lignée de l’extraordinaire Décaméron 2020. Tout à la fois un puissant antidote à la morosité, un creuset littéraire exceptionnel, un témoignage vivant et sans cesse renouvelé de son époque.
Recommandations aux auteurs :
Les auteurs proposent les textes « définitifs », sans mise en page particulière (sauf cas d’espèce). Les textes proposés sont originaux (édition inédite « papier » ou sur le net) et libres de droits. Ils comptent entre 15 et 20 pages maximum. Les textes sont à envoyer à l'adresse suivante : nouveaudecameron@albiana.fr
Rappel des thèmes :
Regain, résilience, renouveau...
Écrire pour lui... Soutenir Jean-Pierre Santini
Vis comica / Et nous avons bien ri
De quoi seront faits nos lendemains ?
Pour lire les textes :
- Numéros entre juillet et décembre 2020
- Numéro de janvier / février 2021
Et pour accéder au sommaire général, c'est ICI !
Retrouvez ici la biographie de tous les auteurs publiés dans Le Nouveau Décaméron 2021
Les époques se succèdent, les histoires s’entremêlent, le miroir veille sur chacun. Il est l’âme des lieux. Une nouvelle d’Anna de Tavera.
La balade des souvenirs égrenés au fil des rues de l’enfance, un récit de Sacha Longau.
Une déambulation dans le dédale des ruelles à l’âge de tous les possibles, un récit de Paule Tomi.
Promenade dans la ville des appétits de l’enfance, un récit de Joëlle Sansonetti.
Parcours d’enfance : « Suivez la guide ! », un récit de Dominique Gaudin
Géographie intime des souvenirs d’enfance, par Claude Marmounier.
Francesco Macciò offre deux poèmes-écrins, deux pépites à découvrir. Traductions en anglais, espagnol et français à la suite.
Du dernier jour reste l’essentiel : la mémoire sensuelle, l’amour éternel… Un poème de Raphaël Cavallero
Dans le monde du porno, l’amour est aussi fragile et puissant qu’ailleurs… Une nouvelle de Jacques Mondoloni.
Un hommage poétique à Rhinocéros de Eugène Ionesco, par Elisabeta Petrescu. Traduction en français à la suite (par Carmela Mantegna)
Suivre celle qui passe, celle qui va, cette femme fantôme que l’on voit sans la regarder, que l’on connaît tous pourtant… Un récit poétique par Christiane Guidoni.
Trois fins alternatives au roman collectif Cartographies ont été proposées. Voici la troisième par Chantal Fournel.
Trois fins alternatives au roman collectif Cartographies ont été proposées. Voici la deuxième par Anne-Laurence Guillemet
Trois fins alternatives au roman collectif Cartographies ont été proposées. Voici la première par Patricia Meunier.
Antoine Pietri écrit ses rêves, ses craintes et ses espoirs que ne peuvent enfermer les barreaux de cellules.
Aujourd’hui encore, dans l’Amérique des Indiens, le combat est souvent perdu d’avance. Akecheta le sait et pourtant… Une nouvelle de Jean-Pierre Arrio.
Une adresse à la mère, un regret, le temps passé... Un poème filial et mélancolique de Liliane Vaillant
Comment encourager un dé-missionnaire invertébré ? Un mollusque de canne-à-pets ? En lui envoyant une petite missive sol-rêve. Par Niellu Leca.
L’autisme est une épreuve de vie dont le mystère reste à percer. Peut-être faut-il écouter l’enfant… Une nouvelle de Pierre Lieutaud
Retrouvez, par ordre alphabétique, tous les auteurs qui participent à la revue depuis le mois de juin 2020. [mise à jour du 22 septembre 2021]
Qui es-tu Pierrot ? Un homme ? Tous les hommes ? Un ami, mon ombre, moi-même ? Un lumineux poème de Raphaël Cavallero.
Les fêtes de familles sont propices au dévoilement des secrets. Une nouvelle de Paule Tomi
La famille est tout ce qui compte ! Une nouvelle de Dominique Gaudin
L’admiration est une variation de la cécité... Une nouvelle de Claude Marmounier.
Demain nous serons entourés de robots, dans un monde plus humain... Une nouvelle d’anticipation de Francesco Basso (Traduction française à la suite).
Une nouvelle épistolaire virtuose, en spirale, border line, étrange et inquiétante, où le réel se rêve et le rêve se réalise. Par Fulvio Caccia.
Une vie passe et le destin qui l’infléchit, inéluctable. Une mélancolie de Liliane Vaillant.
Une historiette bien actuelle malheureusement… par Jocelyne Normand.
« On se rencontre toujours deux fois », dit l’adage. Ou l’improbable comme stade premier de l’extraordinaire… Un récit d’Antoine T.
Récit glaçant d’une rencontre inopinée : l’enfant se souvient, les Corses comprendront sans doute de quoi il parle… par Niellu Leca.
De quoi a-t-on le plus besoin ? d’une main qui donne… Un poème de Raphaël Cavallero
Qu’est-il arrivé à Paul retrouvé par ses amis le crâne enfoncé ? Une nouvelle corse et noire d’Yves Rebouillat.
Récits entrelacés, mémoire vive et mémoires disparues – les morts côtoient les vivants dans la Corse traditionnelle. Par Mathée Giacomo-Marcellesi
Arthur et Anna décident de vaincre le vertige et de céder à l’appel du ciel. Ici débute une grande aventure… à suivre !
Anna se confie dans son journal. Bientôt un drame se noue… [à suivre !]
Il est temps de reprendre son souffle et remettre quelques idées en place. Un entracte sert aussi à cela. [à suivre !]
Arthur n’est pas convaincu par la suite de l’histoire. Il hésite… [à finir]
De la controverse en milieu amoureux : ou comment retourner le désir comme un gant pour l’amour des mots et de la joute. Une scénette d’Yves Rebouillat.
L’enquête continue pour Wata, sans que l’on sache, pas plus que lui, si les éléments et les rencontrent sont des indices, des coups de projecteurs… Par Kentaro Okuba.
Ne pas entendre, ne pas voir, ne pas se sentir concerné. Les prisons sont parfois intérieures. Une nouvelle glaçante de Pierre Lieutaud.
